Création BD Étudiante

Crous de Nantes – Pays de la Loire

Je m’appelle Séraphine, j’ai 23 ans depuis hier. Diplômée d’un DNA Art et Scénographie au Pavillon Bosio à Monaco en 2022 et d’un DNESP aux Beaux-Arts de Nantes en 2024 ; je poursuis actuellement mes études à l’ESNAM (École Supérieure Nationale des Arts de la Marionnette).

J’écris et je raconte des histoires. J’explore les différentes manières d’en raconter à travers plusieurs médiums, l’écriture, la peinture, le corps, l’espace, l’objet (etc). Ma pratique plastique s’articule autour de cette pluridisciplinarité, et le dessin y prend une place importante.

Crous de Paris

J’ai grandi à Rome, et je me suis toujours intéressée à la manière de raconter des histoires, que ce soit à travers la musique, la bande dessinée ou le cinéma. Aujourd’hui, je poursuis mes études à l’école de bande dessinée Delcourt à Paris. Mon travail, souvent ironique, explore des thèmes comme la recherche de soi, la solitude et l’âge difficile de l’adolescence.

Crous de Créteil

Né le 18 février 2003 à Nogent-sur-Marne, Ugo a grandi entre la banlieue parisienne et la Bretagne. Il dessine très jeune, et découvre assez tôt le cinéma, internet, et la bande-dessinée. Il a d’abord pour vocation de devenir réalisateur et/ou acteur, car il lit en réalité peu de BD à cette époque, et se contente surtout de les feuilleter. C’est seulement vers la fin de l’adolescence qu’il se rend compte de la profondeur du médium, et qu’il se met à lire de nombreuses œuvres marquantes de la BD internationale. Ces influences varient entre la bande-dessinée européenne, le manga, et le comics anglophone, mais il puise aussi son inspiration dans le cinéma et la musique. C’est en 2024 qu’il envoie les planches de “Chez Elpis” au CROUS, et c’est sa toute première œuvre à être primée dans un concours.

Crous de Bretagne

Le jour, Sabine de Salvert est étudiante en philosophie à l’université de Rennes ; une élève qui semble épanouie, lancée vers une grande carrière de professeure sage et éclairée sur les grandes questions de l’existence. La nuit, le masque tombe, S. retourne ses crayons ; elle ne disserte plus sur la critique de la raison pure, non, mais dessine ce qu’on appelle dans un milieu d’irréductibles, de la « bande dessinée ». Les cheveux ébouriffés, les dents même pas brossées, méconnaissable, elle s’adonne sous la flamme d’une vieille lampe à huile de foie de morue à cette pratique, croquant à vif sur le contre-plaqué de la table de sa chambre crous ce que les livres ont échoué à dire avec des mots.

Parfois, elle participe à des concours, et alors elle utilise du papier 300g/m et des aquarelles fines.